Du 2 juin au 11 juillet uniquement par internet
Elle est depuis longtemps un outil indispensable pour la collectivité : l’enquête annuelle fait son retour, avec les mêmes modalités qu’en 2024. Réalisée par téléphone depuis 2002, elle avait été impactée par la baisse de l’utilisation des lignes fixes ainsi que par la pandémie du Covid. Remise au goût du jour l’an dernier, l’enquête 100 % digitale se tiendra donc du 2 juin au 11 juillet.
Les habitants d’Alès Agglomération vont pouvoir répondre à une vingtaine de questions portant sur le territoire, les politiques publiques engagées, les aménagements réalisés, etc. Certaines se basent d’ailleurs sur les résultats obtenus l’an dernier.
« C’est un véritable outil de démocratie participative. Nous avons besoin de l’avis des habitants pour évaluer nos actions, confirmer des choix, développer de nouvelles orientations ou faire émerger des projets, afin de toujours mieux répondre à leurs besoins », souligne Christophe Rivenq, président d’Alès Agglomération et maire d’Alès.
Une restitution des résultats à la rentrée
Comme l’an dernier, les questions adressées aux habitants d’Alès Agglomération s’articulent autour des axes prioritaires de développement du territoire, de la qualité de vie, du rôle de la collectivité ou encore des moyens d’information et de communication.
Une partie de l’enquête se concentre quant à elle sur la ville d’Alès : santé, sécurité, aménagement du centre-ville, nouvelles réunions de quartier, rénovations d’équipements comme le marché couvert de l’Abbaye ou Mairie Prim’ sont autant de thèmes abordés.
À noter que les maires des 71 communes ont également la possibilité d’intégrer leurs propres questions pour leurs administrés.
Les résultats seront analysés et croisés durant l’été afin d’être communiqués dès la rentrée : à la fois dans le numéro d’Alès Agglo L’Émission du 29 août (sur YouTube) et dans le journal Alès Agglo de septembre.
« Chaque année, nous attendons beaucoup de cette enquête. J’espère les Grand-Alésiens nombreux à s’exprimer, ça ne prend pas plus de dix minutes ! », appuie Christophe Rivenq.